Référencement WordPress bancal : 5 raisons basiques
Votre référencement WordPress vous cause des soucis ? Vous avez eu envie de vous lancer dans l’aventure, et vous avez créé votre site ou votre blog ! Seulement, vous vous apercevez petit à petit que vous ne rencontrez pas le succès escompté. Vous espériez obtenir quelques lecteurs et un peu de visibilité, mais ça ne semble pas fonctionner. Que se passe-t-il donc ?
La solution la plus probable, c’est tout simplement que les internautes n’entendent pas parler de votre site, et qu’ils ne le trouvent pas non plus en effectuant des recherches sur Google ! Heureusement, il existe des moyens de remédier à ce problème. Voici quelques astuces de base qui pourraient vous aider !
1 – L’étape essentielle : assurez-vous que vous autorisez le référencement de vos pages par les moteurs de recherche
Pour que des internautes trouvent un site qu’ils ne connaissent pas au départ, il faut que celui-ci soit référencé par les moteurs de recherche. Cela vous semble logique ? C’est normal, mais si vous débutez ou que vous ne maîtrisez pas bien WordPress, peut-être avez-vous désactivé l’indexation par inadvertance.
En effet, il arrive quand on commence un nouveau site de ne pas vouloir qu’il soit référencé tout de suite. C’est le cas par exemple si le site est développé en local. Il faut penser à réactiver l’indexation lors de la mise en ligne. Rassurez-vous, la procédure est très simple.
Rendez-vous dans la rubrique Réglages > Lecture des paramètres de votre site WordPress et cherchez l’option Visibilité pour les moteurs de recherche. Si la case Demander aux moteurs de recherche de ne pas indexer ce site est cochée, c’est un problème ! Décochez-la.
2 – Les problèmes de webdesign : assurez-vous que votre site est responsive.
Savez-vous ce qu’est un site responsive ? C’est un site qui s’adapte à l’appareil que les internautes utilisent pour le consulter. En d’autres termes, un site qui s’affichera différemment selon que vous le consultiez sur ordinateur, tablette ou mobile. Avec WordPress, il est très facile d’élaborer un design performant pour les utilisateurs d’ordinateur, mais vous êtes-vous assuré que la navigation sur votre site était agréable pour les internautes utilisant d’autres appareils ?
Vous devez savoir que c’est un des critères que Google prend en compte dans le référencement ! Il existe d’ailleurs un outil dans lequel il vous suffit de rentrer l’adresse de votre site web pour détecter tout problème. Votre page Web est-elle adaptée aux mobiles ? Utilisez l’outil gratuit de Google..
N’oubliez pas : aujourd’hui l’essentiel du trafic d’Internet provient de périphériques mobiles. Avoir un site web responsive n’est donc pas une option, c’est indispensable si vous espérez gagner en visibilité.
3 – Les problèmes d’optimisation : vérifiez vos mots-clés
Connaissez-vous ce qu’on appelle la SEO ? C’est un acronyme de Search Engine Optimization, l’optimisation des pages web pour les moteurs de recherche. Il s’agit d’une série de techniques à adopter pour augmenter la visibilité de vos pages dans les moteurs de recherche. Voici les quelques règles primordiales à respecter.
D’abord, si vous choisissez des mots-clés trop répandus sur Internet, il est évident que vous n’arriverez pas à vous démarquer de sites ou de pages déjà bien plus populaires ! Dans un premier temps, il faut vous concentrer sur des mots-clés originaux ou peu répandus. Peut-être qu’un peu moins d’internautes seront intéressés par ces mots-clés, mais ils auront plus de chances de trouver votre site ! Une fois que vous aurez gagné un peu d’audience, vous pourrez tenter de rivaliser avec d’autres sites plus établis du même domaine que vous !
Cependant, soyez prudent ! Une erreur classique quand on début consiste à utiliser les mots-clés sélectionnés à tout bout de champ au point que le contenu de votre site devienne illisible. Ça se remarque, et ça gêne énormément vos lecteurs ! Il faut intégrer les mots-clés à vos pages de manière fluide.
D’ailleurs, sachez qu’il existe des outils pour vous aider à bien exploiter les mots-clés. Parmi ces outils, on peut recommander le plugin Yoast SEO. Il vous permet de vérifier directement au moment de l’écriture si votre article est bien optimisé !
Sachez également qu’il existe ce qu’on appelle les mots-clés de longue traîne : ce sont des expressions plus spécifiques, souvent construites pour attirer des clients potentiels vers des produits spécifiques. Il peut être pertinent de vous y intéresser, notamment si vous effectuez de la vente en ligne.
4 – La vérification des permaliens
On appelle permalien un lien permanent vers votre page web, que vous pouvez définir dans l’interface WordPress. Comme pour le reste, il existe des règles à respecter pour les permaliens : il faut s’en préoccuper !
Les règles sont finalement assez logiques : il faut tenter de supprimer tout ce qui est superflu ! C’est-à-dire que des mots tels que « et », « ou », ou « par », doivent être évités. Dans l’idéal le permalien se concentre sur les mots-clés à mettre en valeur.
Il faut également éviter toute présence d’information inutile : si vos permaliens finissent par une série de caractères spéciaux et de chiffres, le référencement peut en être affecté !
5 – La dernière étape : la remise en question du contenu
Vous avez l’impression d’avoir parfaitement mis en œuvre les conseils précédents, mais rien n’y fait, votre audience ne décolle toujours pas ? Dans ce cas, il est temps de remettre en question le contenu que vous proposez. En effet, Google analyse le contenu des pages, et va être amené à faire du tri.
Bien sûr, il n’y a pas de recette miracle pour produire du « bon contenu », mais il y a des solutions pour que Google référence mieux vos pages. À commencer par le fait de mettre à jour fréquemment votre site, de façon pour le moins hebdomadaire.
Par ailleurs, vous devriez adopter une certaine longueur pour vos articles : viser des articles d’environ 1 000 mots est une bonne stratégie. Des contenus beaucoup trop courts risquent de passer sous le radar !
Enfin, essayez de proposer un contenu écrit dans un français correct pour faciliter le référencement, et veillez à effectuer les bons choix de mots-clés et à rendre vos articles pertinents !
Espérons que ces quelques conseils sur le référencement WordPress vous permettront de gagner en efficacité et d’acquérir la visibilité dont vous avez besoin pour aller au bout de vos projets !
Votre référencement WordPress est en question ?
Optimiser le contenu d’une page web : les 10 règles à suivre
Pour optimiser le contenu d’une page web, il suffit d’être rigoureux et de suivre scrupuleusement 10 règles simples à retenir et à appliquer, pour proposer un contenu qui plaît à la fois aux utilisateurs et aux moteurs de recherche genre Google.
Optimiser le contenu – Règle 1 : le titre
Optimiser le contenu de votre site commence par le commencement : le titre de votre article ou de votre page, sa balise title, est en effet la première chose que l’internaute lit dans les résultats de recherches.
Le mieux est de mettre le mot-clef autant que possible au début du titre. Ce n’est pas toujours évident, mais ça vaut le coup de se creuser les méninges 2 minutes pour réussir à le faire. Faites donc de votre mieux pour placer le mot clef le plus proche possible du début du titre.
Le titre ne doit pas non plus dépasser 70 caractères pour apparaître sans être couper dans les résultats de recherche de Google.
Autre point important à respecter : votre titre ne doit pas avoir déjà été utilisé pour une autre page de votre site. Créez un titre unique.
Pour plaire aux lecteurs humains, privilégiez toujours l’usage d’une syntaxe correcte plutôt qu’une simple liste de mot clés.
Optimiser le contenu – Règle 2 : l’URL
De la même façon, le mot-clef doit se retrouver au début de l’URL. L’URL doit également être la plus courte possible. Les mots clefs dans l’URL doivent être séparés par des tirets.
Exemple : si votre titre de page est “Le fromage auvergnat : le guide complet”, l’URL pourrait être www.monsite.fr/fromage-auvergnat-guide/ ou www.monsite.fr/fromage-auvergnat-guide.html
Optimiser le contenu – Règle 3 : la structure, hiérarchisation du texte
Structurez le texte en plusieurs paragraphes. Votre texte doit comporter un titre, puis des sous-titres, sous-sous-titres, etc…
En termes HTML, la structure se décline en 6 niveaux, depuis le titre dans la balise h1, puis les sous-titres en h2, puis h3, h4, h5 et h6 pour le dernier niveau. Il est important de respecter le fait que il ne doit y avoir qu’une seule balise h1 par page.
Votre balise h1 et votre balise title doivent être identiques ou quasiment identiques. Pourquoi ? Pour éviter un taux de rebond important et la fuite des visiteurs. En effet, la plupart d’entre nous seront très insatisfaits de se retrouver sur une page dont le titre est “pourquoi acheter nos produits du terroir” si on a cliqué sur un lien “fromage auvergnat pas cher”. Ne pas obtenir immédiatement ce qu’on a demandé génère de la frustration, et la plupart des visiteurs s’en iront directement, sans aller voir plus loin dans la page.
A vous de voir comment structurer votre texte de la meilleure façon pour que le texte soit bien hiérarchisé, lisible et compréhensible par le lecteur.
Optimiser le contenu – Règle 4 : longueur du contenu, quantité de texte
Une page doit comprendre un texte d’une longueur minimale de 400-500 mots. Plus Google trouve de texte, plus il a de grains à moudre pour déterminer si votre contenu est de qualité, et s’il est en rapport avec le sujet désigné par le titre.
En terme de densité, le mot clé doit apparaître dans le texte de temps en temps, pour une densité de 1% ou 2%. Eviter évidemment de truffer le texte avec le mot clé (les moteurs de recherche détestent ce keyword stuffing), mais le répartir de manière harmonieuse dans des phrases parfaitement intelligibles et ayant du sens pour le lecteur. Sur un texte de 500 mots, le mot clef doit donc se retrouver entre 5 et 10 fois, afin de donner suffisamment de poids à ce mot clef.
Il doit se répartir sur la totalité du texte, disséminé un peu partout, au début, au milieu et à la fin. Il est primordial qu’il soit cité dans les premières lignes et pour que ce soit optimal, dès le début du texte, dès la première phrase.
Il est fortement conseillé d’utiliser également des mots clefs secondaires, c’est-a-dire des synonymes du mot clef principal.
Par exemple : “fromage auvergnat à prix coûtant” pour l’exemple précédent, ou bien “film”, “court-métrage” pour le mot clef “vidéo”.
Optimiser le contenu – Règle 5 : gras et italique
Mettez des mots ou expressions en gras ou en italique pour leur accorder plus d’importance. Le robot Google s’appesantira plus sur ces mots ou expressions puisqu’il verra que vous avez voulu leur donner une importance particulière dans votre texte. Choisissez quelques uns de vos mots clefs ainsi que d’autres phrases importantes de votre textes pour les mettre ainsi en avant. Ne mettez pas non plus systématiquement et uniquement le mot clef de la page en gras ou en italique.
Optimiser le contenu – Règle 6 : insertion d’une image
Lorsque vous insérez une image dans le corps de votre texte, il est important de lui donner un nom compréhensible et une balise alternative. En effet, lorsque le robot Google explorera votre texte, au moment où il arrivera a l’image, il ne pourra pas la voir en tant qu’image mais il pourra lire le titre et la balise alt qui décrivent cette image. il est donc important que le mot clef apparaisse clairement dans ces deux entités.
Optimiser le contenu – Règle 7 : la méta description
La balise méta description est vue par les internautes dans les résultats des moteurs de recherche (SERPs). La méta description ne doit pas comprendre plus de 156 caractères, afin d’être sûr que la totalité de la description soit visible par les visiteurs dans ces résultats. Elle est la continuité du titre dans les SERPs et doit offrir un contenu attractif pour l’internaute.
Optimiser le contenu – Règle 8 : le maillage interne, les liens entre vos pages
Il est nécessaire d’insérer des liens internes dans votre texte. Il s’agit de liens qui renvoient le lecteur vers une autre page de votre site ou de votre blog. Evidemment, cette page cible doit avoir un contenu qui se rapproche de celui de la page source. Cela permet de tisser un réseau de liens entre toutes vos pages et d’indiquer aux robots des moteurs de recherche que vous offrez d’autres contenus traitant du même sujet. Ainsi, le moteur de recherche vous accordera plus de poids car vous ne parlez à priori pas à la légère, mais vous vous positionnez comme quelqu’un qui a beaucoup de choses à dire sur le sujet en question.
Optimiser le contenu – Règle 9 : le maillage externe
Le maillage externe consiste à créer des liens vers des cibles externes, qui peuvent être par exemple des pages de références sur le sujet traité. Pourquoi pas proposer un lien vers le fromage ou un lien vers l’Auvergne ? Pour rassurer Google, il vaut mieux faire un lien vers un site qui a de l’autorité, comme Wikipedia ou le dictionnaire Larousse. Ainsi, il jugera que votre page est sérieuse et donne de bonnes informations a ses lecteurs. Un seul lien par page peut être suffisant, le but n’est pas non plus de perdre ses visiteurs en les envoyant tous azimuts. N’oubliez pas de mettre ces liens sortants en “target=_blank“, c’est à dire de spécifier que le lien doit ouvrir une nouvelle fenêtre ou un nouvel onglet de navigateur, afin de garder votre propre page ouverte dans le navigateur de l’internaute.
Optimiser le contenu – Règle 10 : les données enrichies
Les données enrichies, ou rich snippets, permettent de bien indiquer au moteur de recherche les points importants à prendre en compte en priorité. En ajoutant des balises HTML supplémentaires à une page web, les moteurs sont à même d’identifier bien plus finement le contenu de cette page et donc de donner plus d’informations de qualité aux personnes qui effectuent des recherches. Pour en savoir plus sur la base des données enrichies, consultez cet article et pour approfondir le sujet, lisez celui-ci.
Attention, ne faites jamais de contenu dupliqué. Ceci est strictement interdit, alors ne copiez surtout pas le contenu d’un autre site. Générez vous-même votre propre contenu original et unique, ou faîtes le rédiger par un prestataire. Vous pouvez dès à présent appliquer systématiquement ces 10 règles pour optimiser le contenu de vos pages internet, vous en tirerez sur le long terme de grands bénéfices.
Tout savoir sur la gestion de campagnes Adwords
Un site de e-commerce trouve son compte dans la mise en place d’une campagne Google Adwords. Une solution qui lui permet notamment d’avoir un flux de prospects qualifiés, mais aussi d’acheter de manière ciblée des prospects, en plus d’une visibilité optimale. L’ensemble de l’opération est à confier à une agence de communication.
L’intérêt de se tourner vers une agence de communication
Confier la gestion de campagnes Adwords à une agence de communication lyon est l’assurance d’une maîtrise totale des coûts d’acquisition. Une option qui permet aussi de tirer parti d’un savoir-faire acquis à l’issue de plusieurs années d’expérience. L’agence optimise les budgets en référence aux résultats et la stratégie de positionnement des annonceurs. Un reporting mensuel sur les résultats lui permet de tenir ces derniers informés de la performance des campagnes, tout en mettant en place des ajustements requis à l’obtention d’un ROI optimal.
Une agence de communication dispose normalement de tout un éventail d’outils pour optimiser une campagne Adwords. Ses spécialistes sont les mieux à même de maîtriser le coût dans la durée. En effet, après la mise en place d’une campagne, ils effectuent un suivi régulier. Par la même occasion, ils garantissent la qualité de la qualification des prospects.
Pour mieux garantir des résultats probants, mieux vaut surtout opter pour une agence qui est familière avec le marché et la politique commerciale de l’entreprise.
Les grandes lignes d’une gestion de campagne Adwords
Pour gérer une campagne Adwords, une agence de communication lyon procède par trois étapes de base. La première est la recherche de mots-clefs pertinents, garant de rentabilité. La démarche consiste à identifier les requêtes qualifiées pour un site Internet.
La seconde étape est le paramétrage des campagnes sur la plateforme Google. Elle inclut le ciblage géographique et un bon affichage des annonces. Pour y parvenir, les spécialistes se réfèrent entre autres aux meilleurs horaires d’audience.
La troisième étape est la rédaction des annonces. Elle permet surtout d’optimiser le ROI et le développement du taux de clics. L’agence intègre alors dans les annonces des éléments fournis par Google (extensions annonces, liens annexes, adresse…).
En cas de besoin, l’agence peut aussi construire les campagnes selon l’évolution des attentes des annonceurs. Les spécialistes étudieront aussi la redirection du trafic vers les landing pages du site de ses clients. Cette opération simplifie en effet la conversion des visiteurs en clients.
Quelques indications sur les données structurées
Les données structurées sont un atout pour vous démarquer dans les résultats de recherche. Elles obéissent à des règles strictes, et Google est de plus pointilleux sur leur pertinence pour assurer des SERPs de qualité à ses utilisateurs.
Contrôles de qualité des données structurées
Google effectue des contrôles de qualité, de manière algorithmique mais aussi manuelle, afin de s’assurer que les données structurées présentes dans le balisage sont bien en corrélation avec le reste de la page. C’est une question de pertinence.
Ce que veut Google avant tout, c’est fournir à ses utilisateurs des réponses pertinentes et attractives aux requêtes effectuées sur le moteur de recherche. Il ne souhaite évidemment pas que des données structurées induisent en erreur les internautes, en créant une image trompeuse de la ressource ou en produisant une expérience décevante. Les données structurées doivent réellement refléter de manière précise le sujet et le contenu de la page (texte, images et vidéos).
Ainsi, une page web décrivant un artiste de la chanson pourrait utiliser des données structurées pour énumérer ses albums et annoncer les prochaines dates de concert.
De plus, il est fortement déconseillé d’utiliser les données structurées pour afficher un contenu qui ne serait pas visible par l’internaute sur la page web. Si le balisage JSON-LD décrit une recette à la carotte, le corps de la page HTML doit absolument proposer du contenu sur cette recette de cuisine à la carotte et non pas une recette de cuisine au topinambour.
Si Google déniche des données structurées non en conformité avec leurs règles, logiques et simples, il y a fort à parier que tous les extraits enrichis du site en question soient purement et simplement désactivés.
Plusieurs entités sur la même page
Si une page contient plusieurs types d’entités, comme par exemple un texte et une vidéo, il est recommandé de baliser chacune des entités présentes afin de rendre votre contenu parfaitement bien compréhensible pour les algorithmes d’indexation.
- Votre page sur l’artiste de la chanson comprendra probablement un descriptif de sa carrière ainsi qu’une vidéo de son dernier tour de chant. Le premier type devra être balisé avec schema.org/MusicGroup et le second avec schema.org/VideoObject.
- Dans une page catégorielle listant plusieurs entités du même type (produits, personnes, recettes, …), vous devrez baliser chacune d’entre elles avec le type schema.org approprié (schema.org/Product, schema.org/Recipe, etc…).
- Dans une page proposant un lecteur vidéo, il est possible que vous affichiez également plusieurs miniatures de vidéos présentant un intérêt similaire. Il est alors conseillé de baliser non seulement la vidéo principale mais aussi les autres vidéos.
Balisage des images
Quoi de mieux qu’un visuel attractif pour vous démarquer de la concurrence ? Un belle photo de votre potiron attirera assurément l’œil de l’internaute parcourant les SERPs à la recherche du maraîcher qui lui fournira les plus belles cucurbitacées des environs.
Mais attention à bien baliser vos images !
Par exemple, une image balisée avec la propriété schema.org/image de schema.org/NewsArticle doit appartenir directement à l’article en question.
De plus, l’URL de l’image doit pouvoir être visitable et indexable. Si ce n’est pas le cas, elle ne pourra être affichée dans l’extrait enrichi sur la page de résultats de recherche.
Outil de test des données structurées de Google
Google fourni un outil de test gratuit, permettant à chacun de vérifier que son balisage de données structurées est bien écrit comme il faut et pourra donc être compris par Google. L’outil d’aide au balisage de Google peut vous aider à utiliser les formats microdonnées et JSON-LD.
Dans cet outil de test de données structurées, il vous suffit de coller soit le code source HTML de la page que vous souhaitez tester, soit simplement le bloc de javascript (entre les balises <script>).
Après publication de votre page correctement balisée, les algorithmes du robot d’indexation de Google traiteront ce balisage. Le contenu sera alors affichable dans les résultats de la recherche. Pour demander à Google d’analyser la page sans attendre que le robot la trouve de lui-même, il vous faut suivre leurs instructions de “re-crawling”.
Introduction aux données structurées
Les données structurées sont très vivement encouragées depuis 2014 par Google pour améliorer la description des pages internet. Que sont-elles exactement ? Pourquoi est-il intéressant pour les utilisateurs d’afficher du contenu enrichi ? Quels sont les différents formats existants et recommandés ?
Que sont les données structurées ?
Les données structurées font référence à des données possédant un haut niveau d’organisation. Comme dans une base de données relationnelle, les informations sont organisées de manière cohérente, reliées entre elles par une structure hiérarchisée et pertinente. En se basant sur cette structure clairement établie, les moteurs de recherche ont bien plus de facilité à comprendre les informations délivrées dans une page indexée. Par conséquence, l’affichage de ces informations dans les résultats de recherche peut être réalisé de manière bien plus attrayante pour l’utilsateur.
Voir des exemples dans l’article précédent : Rich snippet : attirer plus de visiteurs sur vos pages
Le balisage de données structurées correspond donc au “codage”, aux normes servant à organiser les données. Son but est de décrire précisément les objets et leurs propriétés.
Prenons l’exemple d’un site proposant des informations sur des clubs de sports. Vous pouvez utiliser le balisage pour décrire les propriétés de chaque établissement, telle que la description de ses prestations, l’URL d’une photo d’une activité proposée ou d’un matériel, l’emplacement géographique et la note globale émise par les internautes ayant fréquenté cette salle.
L’intérêt d’améliorer les données présentes sur vos pages et donc fournies à Google et cie est donc assez évident. Il s’agit là d’améliorer grandement l’attractivité des résultats de recherche proposés par les différents moteurs de recherche, en ajoutant des informations à haute valeur ajoutée qui distingue le SERP concernant votre page web de celles de vos concurrents.
Le vocabulaire de schema.org
Pour baliser les données structurées, le standard qui s’est imposé est le vocabulaire de schema.org. Celui-ci a pour but d’améliorer internet grâce à la création d’un vocabulaire commun pour décrire les données sur le Web.
Ainsi, en utilisant ce balisage sur les pages HTML, les données sont facilement interprétables par les robots d’indexation des moteurs de recherche. De la même façon, un e-mail au format HTML incorporant ce balisage verra ses données aisément interprétées par les messageries.
Formats de balisage des données structurées
Il existe différents formats de balisages de données structurées : RDFa, Microdata et JSON-LD. Ils utilisent le vocabulaire standard schema.org.
Il est évidement plus que souhaitable de choisir un des formats et de ne pas en utiliser plusieurs sur la même page ou sur le même e-mail.
Voici par exemple le code HTML lambda décrivant un événement :
<div> Venez tous au concert de Machin Truc le 37 nivôse 2023 au Palais des Sports de Norköpping-sur-Mer ! </div>
Le format JSON-LD
JSON-LD (pour JavaScript Object Notation for Linked Data) est le format recommandé par Google.
Les données sont définies à l’aide d’un objet JavaScript dans votre page HTML. Voici le code exemple ci-dessus réécrit avec le balisage JSON-LD :
<script type="application/ld+json"> { "@context" : "http://schema.org", "@type" : "Event", "name" : "Machin Truc", "startDate" : "2023-04-36", "location" : { "@type" : "Place", "name" : "Palais des Sports" }, "address": { "@type": "PostalAddress", "addressLocality": "Norköpping-sur-Mer" } } </script>
Étant du JavaScript, la notation est distincte du corps du HTML lui-même, la balise de script étant à placer en en-tête de la page. L’avantage est que le balisage n’est pas entrelacé avec le texte visible par l’utilisateur, ainsi il est plus facile d’exprimer les éléments de données. De plus, le moteur de recherche est à même de lire des données JSON-LD injectées dynamiquement dans le contenu de la page, que ce soit par du JavaScript ou par un widget WordPress par exemple.
Vous trouverez plus d’informations sur le site JSON-LD.
Microdonnées (Microdata)
Les données sont définies à l’aide de balises et d’attributs HTML, entrelacées avec le code HTML.
Voici ce que donne le code HTML exemple agrémenté du balisage au format microdonnées :
<div itemscope itemtype="http://schema.org/Event"> Venez tous au concert de <span itemprop="name">Machin Truc</span> le <span itemprop="startDate" content="2023-04-37>37 nivôse 2023</span> au <span itemprop="location" itemscope itemtype="http://schema.org/Place"> <span itemprop="name">Palais des Sports</span> </span> de <span itemprop="address" itemscope itemtype="http://schema.org/PostalAddress"> <span itemprop="addressLocality">Norköpping-sur-Mer</span> </span> ! </div>
Spécification HTML de communauté ouverte utilisée pour imbriquer des données structurées dans un contenu HTML. Comme RDFa, il utilise des attributs de balises HTML pour nommer les propriétés que vous souhaitez exposer en tant que données structurées. Tous les types de données
Vous trouverez plus d’informations sur les microdatas via l’article À propos des microdonnées.
RDFa
Recommandation du W3C, RDFa (pour « Resource Description Framework dans des Attributs ») utilise des attributs de balises HTML pour nommer les propriétés que l’on souhaite afficher comme données structurées : attributs class, id, rel, rev et href. De plus, elle ajoute ses propres attributs about, property, content, datatype et resource.
Le code exemple précédent devient :
<div vocab="http://schema.org/" typeof="Event"> Venez tous au concert de <span property="name">Machin Truc</span> le <div property="startDate" content="2023-04-36">37 nivôse 2023</div> au <div property="location" typeof="Place"><span property="name">Palais des Sports</span> de <div property="address" typeof="PostalAddress"> <span property="addressLocality">Norköpping-sur-Mer</span> </div> </div> </div>
Vous trouverez plus d’informations en anglais à l’adresse http://rdfa.info/
Les liens sponsorisés
Quand un internaute saisie un mot-clef ou une expression sur un moteur de recherche, il obtient une liste de résultats comprenant des liens vers des pages Web. Cette liste de résultats s’organise en plusieurs sections, dont celles des annonces payantes ou liens sponsorisés. Que sont-ils exactement ? Est-ce efficace ? Comment se joue la concurrence pour les meilleures places ?
Les liens sponsorisés ou SEM
Les annonces payantes diffusées dans les résultats de recherche sont également nommés liens sponsorisés. Soit en anglais SEA, pour Search Engine Advertising, c’est-à-dire Publicité sur moteur de recherche.
Les résultats de recherche organiques ou naturels et les liens sponsorisés sont affichés avec un contenu similaire. Chacun possède un lien, une description, voir des rich snippets… Cependant les annonces occupent une position différente sur la page de résultats. Actuellement, elles sont les premiers et derniers résultats de la liste. Il y a peu, elles occupaient aussi la sidebar. Résumons en disant qu’elles occupent les positions stratégiques.
Le contenu est identique ? Oui enfin presque… Il est normalement indiqué de façon claire et sans aucune ambiguïté qu’une annonce est une annonce. De fait, l’internaute est donc censé être informé qu’il clique sur un lien publicitaire.
Faites le test
Allez tout de suite effectuer une recherche quelconque sur un moteur. Par exemple : agence web paris. Observez maintenant tranquillement la page de résultats que vous envoie le moteur. Vous remarquez clairement les annonces publicitaires. Vous pouvez identifier la corrélation entre l’expression de votre recherche et les annonces que le moteur vous présente. Toutes les annonces tournent autour d’un seul et même thème, celui que l’internaute a choisi. Cela n’a donc rien à voir avec les spots publicitaires TV entre le journal de 20h et le bulletin météo, ni avec les pages publicitaires d’un magazine.
L’efficacité des liens sponsorisés
Ainsi, pas de pollution par des publicités sans aucun lien avec la recherche, et un affichage qui ressemble énormément à celui des résultats organiques ou naturels. L’uniformité de l’affichage rend les liens sponsorisés terriblement efficaces. Même si le petit macaron « annonce » est présent, l’internaute lit la page de résultats de bas en haut et ne s’occupe en général que des premiers résultats… il y a donc de fortes chances qu’un clic soit effectué sur une ou plusieurs annonces opportunément placées aux premières loges.
Le moteur de recherche considérant que son utilité pour l’internaute est de lui délivrer les résultats qu’il recherche, il applique aussi ce principe aux annonces payantes. Elles viennent donc de son point de vue compléter les SERPs, puisqu’elles peuvent permettre à l’internaute de dénicher ce qu’il cherche.
Grace aux liens sponsorisés, il est possible de cibler les personnes actuellement à la recherche d’un type de service ou de produit spécifique. En clair, ce sont les internautes qui sont déjà susceptibles de se rendre sur votre site internet ou dans votre magasin qui verront s’afficher vos publicités !
De plus, les frais ne sont facturés à l’entreprise qui passe l’annonce que si les utilisateurs cliquent sur son annonce. Les coûts ne sont donc pas fonction du nombre d’affichages dans les résultats de recherche.
Comment fonctionnent les liens sponsorisés ?
À chaque fois qu’une recherche est effectuée par un internaute, s’ouvre une compétition entre annonces. Il faut déterminer quelles sont celles qui vont apparaître sur la page de résultats ! Cette bataille est transparente pour l’utilisateur et ne dure que quelques millisecondes. Le moteur de recherche choisit les liens sponsorisés à présenter en fonction de deux critères principaux : l’enchère et la qualité de l’annonce.
Enchère
L’enchère correspond au montant maximal que l’annonceur est prêt à dépenser pour chaque clic sur son annonce. A chaque clic, il doit payer (au plus) la somme correspondant à l’enchère.
Par exemple, lorsqu’un annonceur décide de déposer une enchère de 2,30 euros pour un mot clé, cette somme est le maximum qu’il devra éventuellement régler pour un unique clic. Donc pour 10 clics, il devra éventuellement régler 23€ au maximum. Mais si son annonce s’affiche 10 fois sans être pour autant cliquée, il ne devra rien payer au moteur de recherche.
Une enchère correspondant à la valeur estimée du mot clé pour l’annonceur, chacun l’estime à sa façon. Un même mot clé peut donc être estimé à 10 centimes par un annonceur, à 3€ par un autre et à 10 euros par d’autres !
Qualité
La qualité de l’annonce se réfère au degré de pertinence de l’annonce par rapport au mot-clef. On peut imaginer que si je décide de passer une annonce pour vendre mon motoculteur sur le mot-clef « Olympique de Marseille », le moteur de recherche risque fort de ne pas considérer cela comme très pertinent. Il y a donc de fortes chances que je ne sois pas récompensé par un affichage de mon annonce.
En effet, les annonces les plus pertinentes sont susceptibles d’être présentées aux plus hauts emplacements des SERPs. Cela même si leurs enchères sont plus basses que celles d’autres annonces moins pertinentes. Il est même possible que le moteur de recherche n’affiche pas su tout une annonce si elle n’est vraiment pas pertinente, même si son enchère est la plus haute.
En effet, le moteur de recherche doit faire le gendarme pour garder sa crédibilité. Que penserait un internaute d’une annonce pour motoculteur au top des résultats de recherche sur l’OM ? Je crois qu’il prendrait ses jambes à son cou et choisirait directement un nouveau moteur de recherche.
Conclusion
Ainsi, les annonces payantes sont un outil pour promouvoir vos services et produits dans les pages de résultats des moteurs de recherche. Il ne suffit pas forcément de définir l’enchère la plus haute pour passer devant la concurrence, il faut être vigilant à la qualité de son annonce. Une campagne publicitaire bien construite vous permettra de rentrer en contact avec des clients potentiels à l’instant même où ils cherchent justement ce que vous proposez. En utilisant le marketing payant, vous améliorez vos chances d’être bien positionné et donc d’attirer davantage de visiteurs.
Rich snippet : attirer plus de visiteurs sur vos pages
Un rich snippet peut-il vous faire gagner l’éternelle bataille pour être toujours mieux classé dans les pages de résultats des moteurs de recherche ou SERPs de Google ? Etre mieux classé que vos concurrents est-il suffisant pour augmenter le taux de clic vers votre site web ? Apprenez à quoi ça sert d’enrichir vos extraits.
Qu’est-ce qu’un snippet ?
Le CTR (click to rate) dépend de la façon dont vous vous décrivez dans le peu d’espace que Google vous octroit dans ses SERPs. Ce petit espace est appelé le snippet. C’est un extrait du contenu ou des détails obtenus à partir de votre page internet.
C’est la première chose que voit les internautes sur les SERPs et par conséquent, cet extrait doit contenir la meilleure information détaillée possible dont ils ont potentiellement besoin.
Est-ce que votre snippet vous décrit le mieux possible et pousse les internautes à cliquer sur votre lien ?
Ou les laisse t-il préférer cliquer sur un lien moins bien classé que le votre ? En bref, votre snippet est-il banal, ou est-ce un extrait enrichi (rich snippet) ?
Qu’est-ce qu’un extrait enrichi ou rich snippet ?
Un rich snippet comprend les moindres détails qu’un utilisateur recherche. qui contiennent des informations détaillées qui aide les utilisateurs à prendre les bonnes décisions clic.Il peut inclure :
- une brève description de la page et de son contenu,
- les commentaires et évaluations,
- le prix et la disponibilité des produits,
- des photos, l’auteur, et bien plus encore…
Il donne ainsi à l’utilisateur une vue d’ensemble du contenu de la page. Ces extraits sont tirés de données spécifiquement formatées.
Moteurs de recherche et rich snippet
Les moteurs de recherche ne favorisent aucune page dans les SERPs. Ils ajoutent simplement toutes les informations possibles disponibles. Par conséquent, si vous souhaitez créer un extrait structuré ou un extrait enrichi, vous devez inclure les informations requises sur votre page.
L’effet du rich snippet sur le taux de clic
Avec autant d’annonces payantes , de vidéos et d’images classée dans les SERPs, il est difficile d’attirer les internautes avec le bon vieux texte affiché dans la zone de snippet normale. Que souhaitez-vous que votre futur visiteur comprenne de votre page à partir d’un simple titre, d’une URL et d’une petite description ?
Avec l’intelligence artificielle agissant comme guide suprême, les internautes font totalement confiance aux moteurs de recherche et estiment que la grande majorité des résultats obtenus sont pertinents vis à vis de la requête qu’ils ont saisi. Par conséquent, tous les liens sont pour eux plutôt similaires.
Comment votre page va t-elle se démarquer parmi les autres? Pourquoi un internaute cliquerait-il sur le lien menant à votre page ?
- Est-ce que les autres utilisateurs ont apprécié votre page et ont-ils partagé leurs points de vue ?
- Ont-ils évalué les informations que vous avez partagé ?
- Proposez-vous d’autres options qui pourraient intéresser l’internaute ?
- Affichez-vous le prix et la disponibilité de votre produit ?
Mettre tout ceci en évidence dans le rich snippet, ainsi que d’autres choses encore, peut vous aider à attirer un internaute.
Prenons un exemple concret.
Lorsque je recherche “gâteau au chocolat” sur Google, comme d’habitude, j’obtiens un certain nombre de résultats. Considérons les deux résultats obtenus dans l’image ci-dessus. Sur lequel avez-vous envie de cliquer ?
Sur le premier, qui vous donne simplement une recette, ou sur le second, qu’apparemment de vraies personnes ont réellement essayé de mettre en œuvre, ont émis des critiques et ont également évalué ?
Le second lien vous donne une idée de la valeur de la recette (la note des utilisateurs ainsi que le nombre d’avis), le temps approximatif dont vous pourriez avoir besoin pour la préparer, et même le nombre de calories . Cela donne à ce lien une apparence bien plus prometteuse et pratique, n’est-ce pas ?
Types de rich snippet
Fil d’ariane : il indique la position de la page dans la hiérarchie du site. Les internautes peuvent accéder directement à la page ou naviguer tout le long du chemin, niveau par niveau.
Événements : Ces extraits riches se concentrent sur les événements qui peuvent être organisées dans une localité. Ils affichent des détails tels que la date, le nom de l’événement et le lieu.
Organismes : Ces extraits enrichis peuvent être utilisés pour afficher les coordonnées d’une entreprise ou d’une organisation.
Produits : Vous pouvez utiliser l’extrait enrichi de type produit pour afficher les détails de votre produit, tels que le prix, la disponibilité, les évaluations et notes.
Recettes : Vous pouvez utiliser des extraits enrichis pour des recettes, comprenant des informations telles que la préparation et le temps de cuisson, des valeurs et des commentaires nutritionnels ainsi que des notes.
Commentaires et évaluations : Un élément parmi les plus importants dans un extrait enrichi est la section d’évaluations et notes. Cela donne au public un aperçu de la façon dont le produit, la page ou le contenu est performant. Ainsi, cette statistique les aide à prendre la bonne décision, en cliquant sur le lien préféré par les internautes.
Vidéos : Les vidéos sont généralement affichés dans un extrait enrichi. Il peut contenir une image miniature, la description, la durée, la date de mise en ligne et plus encore.
Conclusion
Les extraits enrichis sont bien d’une grande utilité pour vous aider à promouvoir au mieux votre page web dans le petit espace auquel vous avez droit dans les SERPs de Google.
De plus, les moteurs de recherche vous donnent là une exposition suffisante en incluant tous les détails nécessaires dans l’extrait.
Les internautes préfèrent cliquer sur un lien qui donne une idée précise sur ce qu’ils peuvent attendre de la page en question.
Enfin, les richs snippets peuvent être définis différemment selon le type de contenu.
Donc, utilisez-les pour mettre en valeur vos points forts et les qualités que votre public recherche !
Mots clés : recherche via l’outil de Google Adwords
Comment utiliser l’outil de planification Google Adwords pour trouver des idées pour vos mots clés. Apprenez à dénicher des expressions clefs pour parfaire votre référencement naturel ou SEO. Ainsi, grâce au générateur de mots clés, vous pourrez améliorer votre positionnement sur les moteurs de recherche.
Accéder à Google Adwords
Pour accéder à l’outil de planification des mots clés de Google, il est nécessaire de vous connectez à votre compte AdWords. L’adresse est http://adwords.google.com/KeywordPlanner. Si vous n’avez pas encore ouvert de compte AdWords, il est temps de le faire, c’est gratuit et très utile, comme vous allez le voir (comment ouvrir un compte Google Adwords).
Le but final de cet outil est de générer des campagnes publicitaires, mais pour l’instant, la recherche d’idées est encore gratuite, alors profitons-en.
Rechercher des mots et expressions clés
Une fois connecté, allez dans Outils et sélectionnez dans la première partie le premier choix « Rechercher de nouveaux mots clés à l’aide d’une expression, d’un site web ou d’une catégorie ».
Saisissez ensuite dans le premier champ le mot ou l’expression que vous ciblez et pour lequel vous souhaitez trouver des idées complémentaires.
Vous avez plusieurs options permettant d’affiner le ciblage de la recherche. Nous y reviendrons plus tard.
Voici le résultat fourni par l’outil lorsque vous aurez cliqué sur le bouton « Obtenir des idées ».
Il faut se rendre sur le second onglet « Idées de mots clés ».
Les colonnes qui nous intéressent sont les deux premières, « Mot clé » et « Nombre moyen de recherches mensuelles », mais sachez que vous avez la possibilité de sélectionner certaines idées afin de définir un plan (colonne de droite) de campagne publicitaire.
En cliquant sur le titre de la seconde colonne, vous déclenchez le tri par ordre décroissant.
Vous pouvez télécharger votre recherche pour l’enregistrer sur votre ordinateur ou sur votre compte Google Drive, afin de l’exploiter tranquillement plus tard, et d’y revenir quand bon vous semble.
Analyser les résultats des idées de mots clés
On peut constater ici que l’expression « location maison Bretagne » sur la cible géographique France n’est saisi que 1000 fois par mois, ce qui est peu.
Dans la colonne mot clé apparaissent différentes suggestions plus ou moins en rapport avec votre idée initiale, mais qui peuvent vous mettre sur la voie d’idées originales ou complémentaires. Par exemple, on s’aperçoit que « location vacances » obtient un score de saisie autrement plus important, ce qui peut vous suggérer d’associer votre requête avec le mot vacances (si tant est que vous cherchiez à louer une maison pour les vacances et non pas pour le quotidien).
En poursuivant la liste offerte par Google, on remarque bientôt que l’expression « location vacances bretagne » est saisie beaucoup plus souvent que notre phrase de départ.
Sans le terme maison, « maison bretagne » fait également l’objet de plus de recherche de la part des internautes.
L’expression « tourisme bretagne » et ses 2 900 saisies mensuelles suggère aussi une autre idée de mot clé.
Affiner la recherche pour améliorer le référencement
Pour affiner votre recherche, vous pouvez notamment jouer sur le critère géographique : il est désormais possible de resserrer la localisation jusqu’au niveau de la ville. A l’inverse, il est également possible d’élargir la localisation en ciblant plusieurs régions ou plusieurs pays.
Sur notre exemple précédent, on s’aperçoit, et c’est logique pour une région touristique, que si l’on restreint la recherche à la région Bretagne, le nombre de fois où notre expression de départ est saisie diminue considérablement.
A l’inverse, en ajoutant quelques pays frontaliers francophones, le nombre de recherche augmente de 30%.
L’outil vous donne aussi la possibilité de comparer deux périodes, afin de voir si votre mot clé ou expression est plus ou moins recherché. Sur notre exemple, en comparant d’une année à l’autre, on observe une augmentation des saisies de 30%.
Conclusion
Ainsi, l’outil de planification des mots clés permet d’afficher des statistiques historiques que sont les données sur le volume de recherche de mots clés, et vous fournit par-là de nouvelles idées de mots ou expressions clés pour étoffer votre liste existante, notamment des mots clés plus spécifiques ne générant pas forcément un volume de recherche élevé, donc des mots clés « spécialisés », mais susceptibles d’améliorer vos chances de bien vous référencer, d’être mieux positionné et donc d’attirer davantage de visiteurs.
Référencement naturel SEO
Conception Website vous propose de découvrir ou de revoir les bases nécessaires afin de développer vos connaissances sur le référencement naturel. Le but ? Etre capable d’optimiser le SEO de votre site internet.
SEO ou référencement naturel : définition
Le référencement naturel est plus commodément appelé par l’acronyme anglais SEO, pour Search Engine Optimization. Cela signifie optimisation pour les moteurs de recherche. Ces termes désignent l’ensemble des méthodes non payantes grâce auxquelles le référenceur va tenter de positionner une page internet le plus haut possible dans les SERPs, ou pages de résultat, des moteurs de recherche tels que Google et Bing.
Le référencement naturel ou SEO est la façon dont un site est structuré pour que les moteurs de recherche le scannent, l’analysent et le classent de la meilleure manière possible. Pour cela, il est possible de jouer avec de nombreux paramètres :
- les balises : title, h1…h6, alt,
- les balises META : description, robots,…
- les URLs,
- les liens : backlinks, maillage interne,
- les mots-clés.
Cependant, il faut prendre garde à ne pas tomber dans le piège de ne penser qu’au positionnement sur Google. Et d’oublier vos visiteurs humains. Car une sur-optimisation sera détectée par le robot d’indexation et sera au final pénalisante. L’ensemble du contenu d’un site doit donc être compréhensible aussi bien par un moteur de recherche qu’à un visiteur lambda.
Pourquoi le SEO est-il qualifié de référencement naturel ?
Le SEO est qualifié de référencement naturel par opposition au SEA : Search Engine Advertising ou publicité sur les moteurs de recherche. Il s’agit d’un référencement commercial, du type Google Adwords. Celui-ci permet d’optimiser les résultats des liens sponsorisés (c’est-à-dire des liens payants).
Le SEO est donc dit naturel car non-sponsorisé. Les moteurs de recherche ne vous taxent pas sur ce référencement, et vous pouvez le faire vous-même. C’est gratuit. Bien sûr, personne ne vous empêche de faire appel à une agence spécialisée ou à un freelancer pour le réaliser à votre place, contre rémunération.
Quels sont les objectifs du référencement naturel ?
Le principe du référencement naturel est d’influencer le positionnement d’une page dans les résultats de recherche. A travers lui, les buts poursuivis sont en général :
- de bénéficier d’un meilleur positionnement sur les moteurs de recherche que la concurrence,
- de pérenniser ce positionnement (contrairement au caractère temporaire du SEA),
- d’augmenter le trafic entrant sur le site,
- de cibler des prospects plus qualifiés,
- de diminuer la dépendance au référencement payant ou à la publicité payante de toute autre nature.
Le référencement naturel est-il aisé à mettre en place ?
Les raisons qui facilitent la mise en place du référencement naturel par Monsieur Toulemonde :
- Internet est une source inépuisable d’informations gratuites concernant le SEO,
- La rédaction de contenu original destiné aux moteurs de recherche mais également à vos visiteurs.
- Il n’y a pas besoin d’être une terreur de la technique : il peut suffire de quelques notions de base comme connaître les balises adéquates et où les trouver, savoir modifier son site,
- Avoir du bons sens pour réfléchir et trouver les mots clés stratégiques,
- Avoir du temps pour apprendre, analyser, tester, mettre en pratique.
Les raisons qui bloquent la mise en place du référencement naturel par Monsieur Toulemonde :
- Trop d’informations gratuites concernant le SEO : comment s’y retrouver ?
- Rédiger un contenu original demande du temps et quelques qualités rédactionnelles,
- Il faut se farcir un minimum de connaissance en HTML et autres, et, encore une fois, avoir du temps,
- Comment trouver les mots clés stratégiques pour que le contenu de vos pages correspondent aux besoins des visiteurs ?
- Avoir du temps, avoir du temps, avoir du temps…
Si les bases du référencement naturel restent plutôt faciles à comprendre, s’il faut quelques connaissances minimales en technique et en marketing, agrémenté d’un zeste de bon sens, vous serez d’accord avec moi, la pratique demande du temps, et le temps court, file, vole.
Rien n’empêche un propriétaire de site de réaliser lui-même son référencement naturel, si ce n’est le manque de temps et de pratique. Pour faire rapidement la différence avec vos concurrents, vous pouvez vous adresser à un professionnel du web pour réaliser pour vous le référencement naturel de votre site internet.
Pour aller plus loin et développer vos connaissances en SEO, un prochain article de Conception Web Blog abordera la manière d’élaborer une stratégie SEO. En attendant, je vous invite à revoir si ce n’est déjà fait le glossaire du référencement.
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Référencement : définitions
Référencement : définitions de base
Voici quelques définitions importantes pour mieux comprendre le jargon du référencement, et vous aider à bien faire le distinguo.
SEO : Search Engine Optimization
C’est l’optimisation pour les moteurs de recherche. Pour être plus clair, c’est le référencement naturel. C’est-à-dire l’optimisation du site internet afin qu’il se positionne le mieux possible dans les résultats naturels des moteurs de recherche.
SEA : Search Engine Advertising
C’est la publicité sur les moteurs de recherche. Il s’agit cette fois d’optimiser les résultats des liens sponsorisés (c’est-à-dire des liens payants). C’est donc un référencement commercial, du type Google Adwords.
L’exemple suivant vous montre la différence entre SEO et SEA sur Google. Les annonces SEA sont placées avant et sont taguées “Annonces”.
SMO : Social Media Optimization
C’est l’optimisation pour les médias sociaux.
Cette stratégie d’optimisation consiste à diffuser des informations et à acquérir du trafic par les réseaux sociaux. C’est une tendance proche de l’e-marketing, visant à générer des liens potentiels indirects, et à augmenter ainsi la popularité d’un site.
SEM : Search Engine Marketing
C’est le marketing pour les moteurs de recherche.
Ce terme regroupe l’ensemble des techniques de référencement naturel et payant permettant d’optimiser la visibilité d’un site internet sur les moteurs de recherche: SEM = SEO + SEA + SMO.
SERP : Search Engine Result Pages
Pages de résultats d’un moteur de recherche
Il s’agit d’une page internet qu’un moteur de recherche comme Google délivre par rapport aux mots-clés que l’internaute saisit. Elle présente une liste de liens pointant vers les pages de sites internet ou les ressources que le moteur de recherche désigne comme les plus pertinentes vis à vis de cette requête.
Balises META
Les balises META servent à décrire des métadonnées d’une page HTML mais ne sont pas affichées sur cette page. Ces informations servent aux navigateurs web, aux moteurs de recherche, à tous les outils d’indexation. Content-Type, Description, Charset. Certaines servent pour le référencement, comme les meta description et robots.
Keywords
Il s’agit d’une balise meta décrivant les mots-clés mais qui n’a plus guère d’importance de nos jours. Les robots d’indexation ne l’utilisent plus pour le positionnement. Il n’est donc plus utile de l’utiliser dans ce cadre.
Title
La balise title définit le titre d’une page internet. Dans les résultats de recherche de Google, il est utilisé en tant que lien bleu, avant la description du site. Ce n’est pas une balise meta, mais une simple balise de structure d’un document HTML. Cette zone est dite stratégique en SEO car privilégiée par les moteurs de recherche pour le positionnement d’une page.
A ne pas confondre, l’attribut title d’une image ou d’un lien n’est pas utilisé par l’algorithme du robot d’indexation. Son utilité est simplement d’afficher une info-bulle au survol du lien.
Anchor text
Texte d’ancrage d’un lien
L’ancre est le texte (ou l’image, le bouton,…) sur lequel est placé un lien vers une autre page internet ou une autre section de la même page. Ce texte est également à optimiser tout comme les titres et autres zones stratégiques SEO. Attention toutefois à ne pas en faire trop, car Google Penguin surveille ça de près. pourrait sinon vous pénaliser…Des mots-clés stratégiques seront donc à placer dans les intitulés de liens, mais en évitant de placer toujours les mêmes.
Pour une image faisant office d’ancre, le robot scrute l’attribut alt, qui signifie texte alternatif, ainsi que le contexte du lien. Sachez cependant que l’algorithme accorde moins de poids à l’attribut alt qu’à un véritable texte.
Snippet
Extrait
Élément essentiel d’une page de résultats d’un moteur de recherche, le snippet correspond à un titre et deux lignes de description. En règle générale, ces deux éléments sont la balise title et la meta description de la page. Il peut arriver que le robot d’indexation en décide autrement. En effet, la meta description n’est peut-être pas renseignée ou bien peut être jugée inappropriée par rapport au contenu de la page explorée. Dans ce cas, le robot sélectionne un contenu textuel plus pertinent présent dans cette page.
Duplicate content
Contenu dupliqué
Le moteur de recherche n’a aucun intérêt à afficher plusieurs résultats identiques pour une même requête. Il préfère bien sûr afficher des résultats différents afin de satisfaire au mieux l’internaute qui effectue la requête. Le moteur va donc choisir un seul des résultats pour l’afficher dans ses SERPs : celui qu’il estime être le contenu original. Le contenu dupliqué sera pénalisé. Voilà pourquoi chacun se doit d’éviter de produire du contenu dupliqué, que ce soit en recopiant un contenu sur un autre site, ou en offrant du contenu redondant sur vos propres pages.
Backlink
Lien entrant
Plus il y a de liens pointant vers vos pages et plus votre référencement est efficace. La popularité de votre site est un critère très important pour les moteurs de recherche. Votre stratégie d’acquisition de liens, dite netlinking, doit privilégier les liens de qualité plutôt qu’une grande quantité de liens peu qualitatifs.
Dans un prochain article, nous parlerons du référencement naturel en général.
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